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Congrès 2006 - Ateliers


Université York, les 28, 29 et 30 mai 2006

  1. Faciliter les transitions d'apprentissage en français langue seconde
  2. Une cartographie de l'interrogation littéraire
  3. La femme de lettres au Québec avant 1960
  4. Texte, collection et musée dans les littératures française et francophone
  5. Autour du Traité des tropes...
  6. Écocritique : théorie littéraire manquée ou à venir?
  7. Hybridité et renouvellement du genre dans la littérature depuis 1990
  8. La Littérature au second degré : réécriture et transposition
  9. Actualité de Samuel Beckett
  10. Écrire et lire la mort
  11. Communications libres

I. Faciliter les transitions d'apprentissage en français langue seconde

Les problèmes de transition - entre l'école secondaire et l'université, entre les cours généraux de première année et les cours plus spécialisés des niveaux supérieurs - ne semblent guère en train de disparaître. Les multiples approches de l'enseignement du français à l'école, des programmes de français de base aux différentes formes d'immersion (précoce, tardive, français intensif) nous envoient une clientèle des plus diverses, tant dans ses buts que dans ses compétences.
Les intervenant-e-s sont invités à partager leurs recherches et leurs réflexions sur comment améliorer la transition entre les différentes étapes de l'apprentissage du français, surtout entre le français au secondaire et les cours universitaires.
Quelques questions possibles à examiner:
  • Quelles sont les lacunes des étudiants qui arrivent des programmes traditionnels / des programmes d'immersion / des programmes francophones? Comment pouvons-nous travailler pour combler ces lacunes? Quelles sont les forces des étudiants ayant reçu ces différents types de formation? Comment pouvons-nous en profiter?
  • Comment devons-nous organiser nos classes pour tenir compte d'une clientèle hétéroclite?
  • Comment est-ce que nous pouvons organiser les activités des assistant-e-s de langue pour développer au maximum leur contribution à l'apprentissage?
  • Quels liens (par exemple, entre université, école et ministère d'éducation) pouvons-nous établir pour assurer le progrès continu et cumulatif des étudiants?
  • Quelle est la place de la voie pratique - cours de langue à l'intention des non-spécialistes - au sein de nos départements?
  • Eliminer les erreurs fossilisées : un rêve impossible?
  • L'emploi exclusif de la langue-cible en salle de classe : une vache sacrée?
Toute communication d'orientation théorique ou pratique sera la bienvenue.

Responsable:
Iris Black, Department of French, Dalhousie University, Halifax, Nova Scotia, B3H 4P9
Télépone (à partir du 1er août) : 902-494-6938, Télécopieur : 902-494-1626
Courriel : imblack@dal.ca

2. Une cartographie de l'interrogation littéraire

S'il est vrai que la littérature est un rendez-vous entre un vouloir dire et un vouloir comprendre (Barbotin), il s'agit d'examiner ce rendez-vous dans plusieurs oeuvres récentes de langue française, si différente que soit leur facture. Lorsqu'on accepte la définition de la communauté proposée par le philosophe Abel, à savoir que "La communauté aurait donc avantage à être définie comme l'ensemble de ceux qui partagent la ou les mêmes questions" une nouvelle communauté littéraire émerge puisque les mêmes questions sous-tendent l'écriture actuelle traversant les espaces géographiques. Les interrogations, qui surgissent de certaines oeuvres, sur le soi et sur le monde, les réunissent, du moins à des fins d'étude, au-delà des littératures dites nationales. Chacune de ces oeuvres, de façon originale et personnelle, cherche un "art de vivre", un "savoir vivre" ou encore ne met en mots que désespérance. Mais n'est-ce pas là encore s'interroger sur le soi et sur le monde?

Le présent atelier examinera des exemples de la production littéraire de langue française depuis 1980 afin d'identifier les questions que posent les auteurs actuels, d'arriver à mieux en saisir la teneur et le propos, d'en sonder le sens et la mouvance. Des questions fondamentales et essentielles sur l'identitaire, sur l'éthique et sur l'esthétique seront explorées. Cet atelier entend donc amorcer une réflexion sur la quête de la littérature actuelle, sur son cheminement. Il va de soi que ces questions ne seront abordées que dans le mouvement et sûrement au pluriel.

Responsables:
Lucie Lequin, Études françaises, Université Concordia, lucie.lequin@sympatico.ca
Irène Oore, French Department, Dalhousie University, izoore@dal.ca

3. La femme de lettres au Québec avant 1960

Le moment ne serait-il pas venu pour revoir le rôle de la femme de lettres au Québec avant 1960? Il y a tout d'abord les romancières, qui ont publié certains des romans les plus importants de la période, des oeuvres majeures qui continuent à fasciner la critique: Angéline de Montbrun de Laure Conan, Le Survenant et Marie-Didace de Germaine Guèvremont, Bonheur d'occasion de Gabrielle Roy, Le Torrent d'Anne Hébert, La Belle Bête de Marie-Claire Blais... Mais il y a aussi les textes moins connus, dont certains comme le journal intime de Henriette Dessaules ou les romans de Jovette-Alice Bernier et éva Sénécal, méritent sûrement le détour. Sans parler des poètes, des journalistes de carrière, ou de celles, plutôt rares, qui s'essayaient à de la critique littéraire. Et les traductrices?

À une époque où, du moins pendant une certaine période, le féminisme battait son plein, mais où la position des femmes dans le champ artistique -- comme ailleurs -- n'était pas toujours des plus faciles, il fallait beaucoup de courage et de détermination pour se consacrer à une carrière littéraire. Nous vous invitons donc à donner de nouveau la vedette à ces femmes courageuses, en faisant une relecture des oeuvres, en parlant de leur cursus dans l'institution littéraire de l'époque, ou en nous faisant découvrir de nouvelles facettes de cette période beaucoup plus riche en événements qu'on a parfois tendance à le croire.

Responsable:
Annette Hayward, Département d'études françaises, Université Queen's
haywarda@post.queensu.ca

4. Texte, collection et musée dans les littératures française et francophone

Atelier conjoint :
APFUCC - Association des professeur-e-s de français des universités et collèges canadiens
ACÉFXIXe - Association des études françaises du XIXe siècle

La collection privée et le musée sont deux pratiques concurrentes qui ont fait l'objet d'études renouvelées ces dernières années. Afin de dégager la spécificité de telles pratiques, différentes perspectives ont été adoptées : une perspective historique vaste où la collection est étudiée comme pratique humaine liée aux codes sociopolitiques des époques où elle se manifeste (Krzysztof Pomian), une perspective socio-psychanalytique qui s'interroge essentiellement sur la psychologie du collectionneur (Jean Baudrillard, Susan Stewart, Werner Muenstenberger), l'étude enfin de la constitution et du développement du musée public comme institution (Tony Bennett, Susan Pearce, etc.).

Ces recherches qui interrogent la collection dans sa systématicité, son historicité ou sa spécificité individuelle ont ouvert la voie à une critique littéraire (Philippe Hamon, Pierre-Marc de Biasi, Bernard Vouilloux et Dominique Pety notamment) qui se penche sur les figures de musées (privés, publics) dans la littérature et sur leurs implications idéologiques et esthétiques.

Nous voudrions poursuivre cette voie en interrogeant dans cette session les multiples rapports qu'entretiennent textes et collection à travers la manifestation (explicite ou implicite) de figures de musées, collections privées, maisons-musées et maisons d'artistes dans les littératures française et francophone.

Les communications pourront explorer les problématiques suivantes :

  • la figure du cabinet de curiosité, du musée, de la maison-musée, de la maison d'artiste dans le texte littéraire : enjeux esthétiques, enjeux idéologiques
  • esthétique littéraire de la collection, du collage, du fragment
  • collection et genres : Y a-t-il un (ou des) genre(s) de la collection ? (encyclopédie, dictionnaire, nouvelle, journal, etc.)
  • Musée et colonialisme, post-colonialisme
  • L'objet dans le texte littéraire : poétique du bibelot, de l'objet de collection
  • Collection et mémoire
  • Musée, collection, temps et espace
  • Musée et modernité
  • Texte et image, exposition, regard

Cette liste est non exhaustive, elle entend stimuler des directions de recherche plutôt que restreindre le champ des propositions. Nous encourageons donc fortement les communications qui traitent d'autres aspects de la question.

Responsables:
Bertrand Bourgeois, bbourgeo@uwo.ca, et Anthony Purdy, apurdy@uwo.ca, Université de Western Ontario

5. Autour du Traité des tropes...

Atelier conjoint :
APFUCC - Association des professeur-e-s de français des universités et collèges canadiens
SCÉR - Société Canadienne pour l'étude de la rhétorique

"Le traité des tropes est du ressort de la grammaire, on doit connaître les tropes pour bien entendre les auteurs et pour avoir des connaissances exactes dans l'art de parler et d'écrire."

César Cheneau, sieur du Marsais (1676-1756), grammairien et philosophe, a été l'un des collaborateurs de l'encyclopédie. Il a d'ailleurs écrit l'article "philosophe". En 1730, il publiait le Traité des tropes, un ouvrage dont les écrivains, les grammairiens et les rhétoriciens s'inspirent encore aujourd'hui.

L'atelier propose d'explorer:

  • Les traditions rhétoriques et littéraires dans lesquelles s'insère le traité des tropes.
  • Les lectures des textes (du 18e au 20e siècle) obtenues au moyen du Traité des tropes.
  • La place faite au Traité des tropes aujourd'hui, dans l'enseignement et la recherche.

La SCÉR étant une société bilingue, il sera possible d'accommoder des communications en français ou en anglais.

Responsable:
Sylvain Rheault, Département de français, Université de Regina, 3737 Wascan Parkway, Regina (SK), S4S 0A2
sylvain.rheault@uregina.ca

6. Écocritique : théorie littéraire manquée ou à venir?

En tant que théorie littéraire, ecocriticism ne manque pas de partisans passionnés au sein des Départements d'anglais en Amérique du Nord, en Asie, en Australie et en Europe. Depuis une dizaine d'années, l'Association for the Study of Literature and the Environment croît en nombre et en importance, accueillant présentement plus de 900 membres. Or, il semblerait que cet enthousiasme pour la question de l'environnement dans le domaine littéraire ne s'est pas encore traduit en langue française. Le terme écocritique ne s'entend que rarement aux Départements de français, et l'on ne trouve que très peu d'occurrences du mot sur Internet (où il est surtout question de pages bilingues de chercheurs travaillant dans le domaine du ecocriticism). La question se pose : le mouvement écocritique, aurait-il manqué le passage aux mondes français et francophone?

Pour tous ceux et celles qui travaillent à la dérobée, sous d'autres noms qu'écocritique, sur la question de l'environnement dans la littérature française et/ou francophone, cet atelier se veut un moment de retrouvailles, de rencontre et de rassemblement.

Quelques axes possibles pour orienter la discussion:

  1. Discursif - Comment le discours écologique est-il intégré dans le texte littéraire? Existe-t-il d'éco-rhétorique spécifique au texte littéraire?
  2. Théorique - Sur quelles assises épistémologiques fonder la théorie de l'écocritique? Est-il possible de parler de théorie écocritique sans d'abord poser la question de l'éthique et de la politique?
  3. Historique - Que faire des textes écrits bien avant la crise environnementale? Ont-ils leur propre forme d'écologisme?
  4. Pragmatique - Le discours littéraire permet-il d'imaginer de solutions plus créatives aux problèmes environnementaux? Quels sont les liens entre la lecture de textes littéraires et la pratique environnementaliste?

Enfin, toute contribution portant sur la question de la représentation de la nature, que ce soit des animaux, des figures, des phénomènes, des lieux, etc., dans la littérature française ou francophone et selon la perspective écologique est la bienvenue.

Responsable:
Stéphanie Posthumus, Département de français, McMaster University, Togo Salmon Hall 612, 1280 Main Street West, Hamilton, Ontario, L8S 4M2
Téléphone: 1-905-525-9140 x 23753, Télécopie: 1-905-577-6930
posthum@mcmaster.ca

7. Hybridité et renouvellement du genre dans la littérature depuis 1990

Les crises du roman et de la fiction provoquent aujourd'hui une redéfinition ou un refaçonnement de la littérature. Dans la production littéraire actuelle, on assiste à de multiples nouvelles pratiques, dont plusieurs sont axées sur l'hybridité et le renouvellement du genre littéraire. Pour ne prendre qu'un seul exemple, les divers genres (auto)biographiques connaissent depuis une trentaine d'années un essor sans précédent. Tandis que la publication de textes (auto)biographiques tous azimuts - autofictions, journaux intimes, récits autobiographiques, romans autobiographiques, correspondances, mémoires, témoignages, biographies, biographies fictives - ne cesse de proliférer, l'étude scientifique de ces derniers s'est taillée une place primordiale au sein des études littéraires et culturelles. Mais les expérimentations et les aménagements génériques récents dépassent la seule rédaction de textes intimes. Pensons également au fragment - forme littéraire ou nouveaux genre? - dans ses diverses manifestations (chez Quignard, par exemple), à la fiction brève et à l'organisation morcelée du recueil de nouvelles (Gripari), qui contribuent, eux aussi, à « l'éclatement des genres » (Dambre et Gosselin-Noat). Enfin, l'essai prolifère à l'intérieur du roman (Tournier, Kundera, Jean), produisant un mélange innovateur de fiction et de philosophie dont l'hybridité fait fi des critières génériques rigides.

Cet atelier, rattaché au GRELFA (Groupe de Recherche et d'étude sur la Littérature Française Actuelle) de l'Université de Toronto, propose d'explorer de telles mutations génériques dans la littérature récente de langue française. Bien que la description de l'atelier porte sur la littérature française, il convient d'encourager les participant-e-s à soumettre des propositions sur toute littérature de langue française (québécoise, maghrébine, antillaise, européenne, etc.).

Responsable:
Barbara Havercroft, Département d'études françaises, Université de Toronto, Victoria College, Northrop Frye Hall 315, 73 Queen's Park Crescent, Toronto (ON) M5S 1K7
barbara.havercroft@utoronto.ca, tél. : 416-585-4436, fax : 416-585-4584

8. La Littérature au second degré: réécriture et transposition

Dans Palimpsestes, Gérard Genette définit un type particulier de relation transtextuelle: l'hypertextualité. Plus vaste que la notion d'intertextualité, l'hypertextualité saisit la relation entre un texte (l'hypertexte) et un texte antérieur (l'hypotexte) sur lequel il se greffe. Autrement dit, ce concept sert à qualifier la nature d'un "texte au second degré", "dérivé d'un autre texte préexistant" (13). La notion de réécriture - la reprise d'un texte antérieur - se trouve ainsi au coeur de cet atelier. De la même façon, la notion de transposition pourrait englober les transformations et modifications effectuées à un texte de départ afin de le traduire dans un autre genre (par exemple, une adaptation théâtrale d'un roman) ou afin de le transplanter dans un autre contexte culturel.

Cet atelier se propose d'examiner divers aspects de la transposition littéraire et accueillera des propositions de communication sur une variété de sujets: des discussions théoriques sur la pratique de la réécriture, des analyses textuelles portant sur des transpositions génériques et/ou inter-culturelles, ou portant sur des réécritures de textes français. On exclura cependant les adaptations cinématographiques de textes littéraires.

Cet atelier s'intéresse aux textes de toutes les époques.

Responsable:
Tara Collington, Département d'Etudes françaises, University of Waterloo, 200 University Ave. West, Waterloo, ON, N2L 3G1
tél. bureau: (519) 888-4567 x6123, courriel: tcolling@uwaterloo.ca

9. Actualité de Samuel Beckett

Dans le courant des événements commémoratifs qui auront lieu en 2006, l'année du centenaire de la naissance de Samuel Beckett (1906-1989), nous voudrions proposer un atelier sur l'Actualité de Beckett. Les communications pourront porter sur les nouvelles tendances de la critique sur Beckett (approches philosophique, génétique, générique, sémiotique, narratologique, stylistique, autobiographique, etc.) ou sur les adaptations et mises en scène récentes de ses pièces, parmi lesquelles nous citerons à titre d'exemple la déroutante production belge d'En attendant Godot de Lorent Wanson présentée en 2002 à Montréal (voir le compte rendu dans Jeu 107), les adaptations cinématographiques du projet Beckett on Film ou l'installation de l'artiste canadien Atom Egoyan (à partir de La Dernière bande) pour le Musée d'Art contemporain de Montréal en 2002. Nous accepterons également les lectures originales de textes de Beckett, dans la mesure où elles feront valoir l'actualité de cette oeuvre, qui continue, au XXIe siècle, à nous interpeller.

Responsable:
Johanne Bénard, French Studies, Queen's University, Kingston ON,K7L 3N6
courriel : benardj@post.queensu.ca

10. Écrire et lire la mort

La permanence de la thématique de la mort dans la littérature nous fait croire qu'il existe maintes études de fond sur le sujet. Selon Michel Picard qui a publié en 1995 un travail substantiel sur la question, il semblerait que ce ne soit pas le cas : "On peut légitimement s'étonner que le sujet désigné par un titre comme La littérature et la mort n'ait pas déjà été abondamment traité, dans des ouvrages qui seraient devenus classiques." En effet, à l'exception de Gilles Ernst qui a organisé deux colloques sur la mort et la littérature, dont un à Cerisy, les idées courantes sur la mort dans la littérature proviennent souvent d'autres champs d'études tels l'histoire des mentalités (Philippe Ariès et Michel Vovelle), l'anthropologie (Louis-Vincent Thomas), la sociologie (Edgar Morin) et la philosophie (Vladimir Jankelevitch, Emmanuel Lévinas). Ces derniers nous ont offert des visions stéréoscopiques de la mort qui ne devraient pas diminuer l'importance des recherches littéraires dans ce domaine.

Écrire et lire la mort sont des opérations kaléioscopiques d'autant plus pertinentes qu'elles sont centrées sur le langage. Nous aimerions proposer un atelier où il sera question de voir comment les écrivains de la littérature francophone et française se représentent cette thématique et s'il est possible de dégager des points de divergences et/ou de convergences entre ces représentations.

Voici quelques pistes de recherche:

  • La mort comme structure du texte (la tragédie, l'épitaphe, le testament...) ou figure (la prosopopée, la personnification...)
  • Le langage funéraire
  • La mort de l'auteur
  • Le temps et la mort : le vieillissement, le pourrissement, la destruction
  • Les lieux de la mort : les hôpitaux, les morgues, les cimetières
  • Les mythes associés à la mort : Phénix, Thanatos, les Parques
  • Le fantastique et la mort : les fantômes, les vampires
  • Le deuil
  • Les rites funéraires et les éloges funèbres
  • L'approche de la mort
  • Les modes du mourir : le meurtre, l'infanticide, l'accident, le suicide, l'euthanasie, la maladie
  • L'après-mort
  • Les morts collectives : la disparition d'une communauté minoritaire, d'une langue.

Responsable:
Lydia Lamontagne, Département des lettres françaises, Université d'Ottawa, 60, rue Université, Ottawa (Ontario), K1N 6N5
Téléphone : (613) 562-5797, Télécopieur : (613) 562-5981
mlamo101@uottawa.ca

11. Communications libres

Vous voulez nous faire part de votre recherche, mais votre sujet ne s'inscrit dans aucun des ateliers proposés ? L'APFUCC accueille volontiers les conférences hors thème. Envoyez votre projet à :

Responsable:
Stéphanie Nutting, Département d'études françaises, School of Languages and Literatures
Bureau 261, MacKinnon Building, University of Guelph, Guelph (Ontario), N1G 2E3
Courriel: snutting@uoguelph.ca